Chaussons en velours Coco - Bosabo

Très stylés dandy chic, les chaussons Coco Bosabo sont un cadeau de Noël à faire avec succès garanti, pour avec, marcher sur un nuage !

Caractéristiques des chaussons en velours Coco de Bosabo :
Couleurs : Prune, truffe.
Pointures : du 40 au 45.
Composition: Semelle extérieure microfibres - Dessus cuir de bovin finitions velours - Intérieur doublé laine véritable.
Baguette talon tissu bleu-blanc-rouge.
Boîte en kraft, emballage recyclé et recyclable.
Fabrication 100% française.

Entretien: Le dessus cuir avec une brosse douce. La semelle avec un chiffon humidifié à l'eau savonneuse, laissez sécher à l'air libre.

A propos de la marque Bosabo :

C’est une belle histoire de famille, de transmission et d’héritage d’un savoir-faire unique. Bosabo, entreprise de la société Audouin, nom de la famille gérante, est née à la fin du XIXe siècle, quand un certain Emile Audoin se rendait à partir de 1890 de ferme en ferme pour créer pour les paysans de l’époque des sabots de bois. Des sabots traditionnels pour accompagner le monde paysan du pays des Mauges dans les champs. En 1920, son fils Joseph installa le premier atelier à Saint-Rémy-en-Mauges avec les premières machines pour tourer et creuser le bois.

Et depuis cinq générations, la famille Audoin place Bosabo au cœur de l’univers de la chaussure avec de vrais particularismes. Des sabots des champs, aux paillettes des années 70, aux chaussons, en passant par le phénomène revival des sabots aujourd’hui dont il ne reste que la semelle en bois du sabot originel signé Emile Audoin, chaque génération Audoin amènera les nouvelles donnes du marché et de la mode, et ainsi, permettra de faire durer cet atelier familial si singulier. De ce fait, Bosabo propose tous les 10 ans des nouveaux modèles avec des styles réinventés. Des sabots, mais aussi des chaussons "Charentaises modernes", qui trouvent un réel public en France, au Japon, aux USA mais aussi en Australie.

La signature Bosabo, via l’atelier Audoin, se caractérise par deux faits majeurs. Il faut 12 semaines de travail pour produire une semelle de sabot à laquelle sont ensuite ajoutées à la main les lanières en cuir. Deuxièmement, Bosabo se fait un honneur d’œuvrer avec du bois provenant des forêts locales des Pays de Loire et de Bretagne, toujours très proches de l’atelier familial. Du bois de hêtre au veinage particulier rendant ainsi chaque paire unique.